Ces EGLISES au centre de nos villages

Dans le voisinage de l'église "Notre-Dame" ( XIV° s. ) de BEAUMARCHES, nous trouvons de superbes églises, souvent mises en valeur grâce à l'attention de personnes et d'associations passionnées par la sauvegarde du patrimoine local. Illuminées, elles accueillent souvent des concerts. Leurs vitraux, sculptures et peintures font l'objet d'études qui aboutissent parfois à des découvertes surprenantes.

 

 

 

 

BARCELONE

 

 

 

 

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SARRAGACHIES

Classée monument historique, l'église paroissiale de SARRAGACHIES, de style roman, est du XI°siècle avec une chapelle au superbe rétable, ses boiseries et sa Vierge Noire. Sont scéllées dans les murs les sept "pierres sacrées" gravées de croix et de lettres rappelant celles des chrismes. Elle domine l'Adour et offre un point de vue sur sa vallée. A remarquer dans son cimetière la tombe discoïdale.

L'église Saint Barthélémy de Sarragachies possède à l'ouest un clocher carré avec des contreforts. On y pénètre par un portail cintré. La grande nef, bordée de neuf arcades disposées symériquement, possède une voûte en berceau lambrissée. En son centre se trouve le bénitier de l'église. De chaque côté, on a accès à une chapelle, au midi dédiée à la Vierge et au nord à Saint Joseph. La chapelle de la Vierge est éclairée par trois baies ornées de vitraux peints. La chapelle dédiée à Saint Joseph possède une statue polychromée de son saint et d'un autel en marbre blanc. Près de la chapelle Saint Joseph, les fonds baptismaux sont constitués d'une énorme cuve en pierre rendant possibles les baptêmes par immersion.

 

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CRAVENCERES CHAPELLE de l'HÔPITAL (XIIIème siècle) La partie Ouest du village de CRAVENCERES, appelée "l'Hôpital", tire son nom du fait qu'au Moyen Age les pélerins de St Jacques de Compostelle trouvaient en ces lieux un refuge pour la nuit, se faire soigner ou tout simplement se protèger d'une région pas très sûre. De cette époque, il ne reste plus qu'une chapelle qui est un lieu de pélerinage dédié à Sainte Claire. Elle se trouve excentrée par rapport au GR 65, le sentier de grande

randonnée du Puy en Velay à Saint Jacques de Compostelle, dans un lieu chargé d'histoire, agréable, calme et reposant. C'est sûrement l'ordre des Chevaliers de Saint Jean de Jérusalem qui s'établit en ces lieux vers la fin du XIIème siècle. Le Commandeur de l'Hôpital Sainte Christie y possédait une maison, l'église, une vigne, un puits, un étang, un pré et un bois. Les limites de ces biens étaient matérialisées par des bornes (en continuant le chemin qui mène aujourd'hui à la chapelle, vous pouvez en découvrir une sur votre droite, à l'angle du bois). En 1750, la Commanderie couvrait 280 ha. On y logeait, on s'y nourissait, on y recevait des soins médicaux et des consolations religieuses... La maison du Commandeur a été détruite vers 1538 par les protestants qui se servirent des pierres pour renforcer les fortifications de MANCIET. La révolution confisqua tous ces biens le 2 novembre 1789 et furent adjugés pour 42000 livres en assignats malgré l'intervention du Commandeur de l'époque, Léon de Malvin de Montazet (Eléments extraits du livre de Charles SAMARAN "La Commanderie de l'Hôpital Ste Christie en Armagnac"). La chapelle se visite aujourd'hui sans aucun problème. Un relais hippique, le Relais du Haget, a été récemment créé pour accueillir les pélerins de St Jacques à cheval ou à pieds, et pour organiser des randonnées d'une demie-journée à une semaine.

  

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TERMES d'ARMAGNAC

A l'ombre de la tour de TERMES se trouve l'église Saint Pierre de style roman. Le choeur possède un rétable de la seconde moitié du XVIIIème siècle qui surprend par sa grande richesse. Cet ensemble décoratif s'ordonnance autour d'un fastueux baldaquin.

L'église Saint Pierre aurait été bâtie par l'Ordre des Templiers au XIIIième siècle. On remarque sur les murs de l'édifice les nombreux remaniements dont il a fait l'objet au fil des années. Par exemple, au début du XIXième siècle, le bâtiment a été rehaussé et la voûte remplacée par un lambris. Le clocher est une tour carrée qui a été surmontée d'un dôme et d'une flêche élancée. Il abrite une seule cloche fondue en 1830 par Perret. Restauré entre 1990 et 1992 par l'atelier Moreno d'Odos dans les Hautes Pyrénées, le rétable de l'église Saint Pierre de Termes est inscrit aux monuments historiques. Il est l'un des fleurons du mobilier baroque des églises du Bas-armagnac. Les quatre panneaux latéraux sont décorés de cadres dorés de style rocaille renfermant chacun un support de statue. Le tabernacle entièrement doré reproduit en miniature le contre rétable. Le très élégant autel "à l'italienne" est en forme de tombeau. Sa partie centrale avec un motif rocaille renferme les clés de Saint Pierre, patron de l'église. Parmi le riche mobilier baroque, on peut noter la table de communion.
 

 

 

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RISCLE

L'exceptionnelle église Saint Pierre, consacrée monument historique en 1490, se situe sur la butte de l'ancien château comtal de Larroque, éperon rocheux défensif dominant la ville de Riscle. L'origine du village remontant au IXème siècle, le cartulaire du monastère de St Mont fait état de l'église de Riscle en 1052. L'élection des 4 consuls chargés d'administrer la ville ayant lieu tous les ans dans l'église, le jour de Noël, ce sont les comptes consulaires de Riscle qui fournissent les meilleures informations sur la vie de cet édifice. L'église a été consacrée en 1490. Aux XVème et XVIème siècles, les consuls ont chargé le compagnon Jean de Chartes (puis son fils) de réaliser de gros travaux de restauration et de transformation de l'édifice. Incendiée au passage des troupes de Montgomery en 1569 et pillée pendant la Révolution, l'église connut de gros dégâts sur les voûtes en pierre qui seront cachées par un plancher voûté jusqu'au XIXème siècle durant lequel l'édifice sera quasi totalement restauré. En 1825, le conseil municipal fait remplacer les escaliers existants par l'escalier monumental que nous voyons aujourd'hui.

L'intérieur de l'église a été restauré entre 1850 et 1880. Dans le choeur habillé de boiseries, se dresse un autel moderne avec 12 niches abritant les 12 apôtres. Le tabernacle a un agneau pascal cisélé sur sa petite porte dorée. Il est surmonté d'une tour carré et d'un ciborium porté par 4 petites colonnes en marbre blanc. La grande nef est embellie par une chaire richement décorée qui est une modeste réplique de celle de la cathédrale d'Auch. Dans l'une des nefs latérales, se trouve une Vierge à l'enfant en bois doré du XVIIème siècle qui aurait été offerte par Anne d'Autriche lors d'une visite en 1638. Napoléon III a également offert en 1858 un tableau représentant Jésus jouant avec Jean-Baptiste à côté de la Vierge Marie. Après 2 siècles sans réparations, de grands travaux ont été réalisés entre 1992 et 1997, notamment la réfection des toitures, la consolidation des contreforts et la rénovation des façades extérieures. L'église est classée aux monuments historiques depuis 1974.

 

 

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Ancienne cité gallo-romaine de Burgo Tascqua, TASQUE fut le siège d'une importante abbaye bénédictine plusieurs fois ravagée par les guerres et les invasions. TASQUE possède une église romane remaniée au XIII° et XVII° siècle. Vers la fin du XVII° siècle, la décision fut prise de remettre en état cette plus ancienne église du département, issue de l'ancienne abbatiale Saint Pierre datant du XI°siècle. Un puissant clocher et un crénelage du XVIII° siècle couronne l'édifice. Un remarquable portail du XII°siècle, surmonté d'un tympan avec un Christ assis dans sa mandorle et entouré de Saint Pierre et de Saint Paul, orne la façade surélevée et fortifiée de l'église. En 1980, encastré dans le mur Est de l'abbatiale, est découvert un autel votif gallo-romain portant le nom d'une divinité jusqu'alors inconnue. Le choeur abrite un authentique autel roman. Nous y trouvons également une arcature moderne, de style néo-roman. Au nord du choeur, des fenêtres placées très haut s'ornent d'une archivolte à billettes reposant sur deux petits modillons à têtes d'hommes ou d'animaux.

 

 

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L'église St-Barthélémy, aujourd'hui Sainte-Christine, domine la plaine de la Rivière-Basse. Reste d'un supposé grand édifice, cette église possède des constructions du XI° et du XII° siècle, ainsi que de superbes vestiges de l'art roman.

Les colonnes posées sur un soubassement à gorge avec de remarquables chapiteaux constituent encore aujourd'hui la grande richesse du chevet, du choeur et de l'abside sud.

 

 

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 LASSERADE

L'église de LASSERADE a été construite en 1872 grâce aux dons des familles LATERRADE et RICHELLE. Rarement entretenue depuis sa construction, le maire Jean-Pierre LABEROU, architecte de profession, a réussi à rassembler les moyens pour la restauration des murs, des toitures, des vitraux, des peintures et des boiseries du Choeur. Le chemin de croix devait également être restauré. L'ensemble est désormais superbe.

 

 

 

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GALIAX

De remarquables travaux de restauration ont rendu à GALIAX leur magnifique église romane Saint Michel datant du Moyen Age. Elle était située sur le rempart Est d'un ancien bourg et château aujourd'hui disparus. Pendant son mandat de maire, M. PUSTIENNE a fait de cette église un véritable musée de CHAVAUTY, peintre pièmontais du XIX°siècle, qui a laissé de nombreuses oeuvres dans la région. A l'intérieur de la chapelle de la Vierge, nous trouvons Saint Joseph, la vierge Marie, sa mère Anne, son père Joachim, sa cousine Elisabeth, Saint Jean-Baptiste. Ce peintre rural et naïf a également réalisé les tableaux de la Crucifixion,de Saint Marc, de Saint Luc, de Saints Pierre et Paul. On lui attribue aussi le bas relief de l'autel représentant le baptême du Christ. Ce site a été couronné en l'année 2000 du prix du patrimoine.

 

 

 

 

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PLAISANCE

BARRE puis DURAND, architecte de la basilique de LOURDES, ont construit l'église de PLAISANCE de 1854 à 1862. Sur le tympan du porche, le Christ nous accueille mais l'Esprit du Mal est représenté sur les portes latérales par 4 petites sculptures. Le sculpteur BEAU réalisa après 1890 les sculptures des piliers qui nous rappellent les éléments essentiels de la foi et de la pratiques chrétienne. Les vitraux supérieurs de la vaste église sous le patronage de Notre Dame ont pour thème les litanies de la Vierge. Les vitraux inférieurs, aux superbes couleurs, représentent les Apôtres. Sur la porte de la sacristie, Dieu le Père est représenté dans un grand geste créateur, et sur la porte d'en face nous trouvons la représentation du Fils et de l'Esprit. Du décor Saint Sulpicien aujourd'hui disparu ne demeurent qu'une Vierge en bois du XVIII° siècle et une Résurrection d'un

peintre local, MAGENC. Dans les années 70, le décor de l'ensemble voûté nef et bas-côtés a été repensé dans le cadre de la construction d'un orgue-rétable conçu et réalisé par Daniel BIROUSTE. Représentant la mort et la résurrection, les panneaux de l'orgue ont été peints par Daniel OGIER.

L'année 2004 fête les 150 ans du commencement des travaux de construction de l'église de PLAISANCE qui devait être terminée en 1864, soit 10 ans après. Le 16 novembre 1837, le conseil de la paroisse délibérait sur la nécessité de reconstruire l'église Ste Quitterie. Le 3 mai 1838, le conseil dirigé par le maire LANAFOERT décidait cette reconstruction d'après les plans présentés. Le devis s'élevait à 47 000 francs. Il devait s'avérer insuffisant de 20 000 francs, l'architecte BARBE ayant sous-estimé le coût de la pierre. Il fallut 9 ans pour décider l'emplacement de sa construction: sur la nouvelle route de Prechac, sur l'emplacement de l'ancienne église ou au sud de la nouvelle place. Ce dernier emplacement fut enfin choisi par le conseil et la construction pouvait commencer. Pour son financement, l'Etat accordait une subvention de 15 000 francs le 7 juillet 1841 et la commune donnait 12 000 francs. Trouver la totalité de son financement devait créer de nombreux soucis au maire de l'époque DUCOS. Heureusement, un certain Paul RHODES, natif de PLAISANCE, participait aux frais de construction en léguant par testament un montant de 10 000 francs. Prêtres de PLAISANCE durant les 10 années d'édification de l'église, les abbés DARAN et PALANQUE devaient particulièrement s'investir dans la réussite de ce projet.

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PRECHAC sur ADOUR

L'église romane de Saint Jean-Baptiste est l'un des plus anciens édifices religieux de la Rivière Basse. Elle a été détruite partiellement durant les guerres de religion mais de superbes vestiges demeurent aujourd'hui. Comme à Tasque, le chevet est orné d'une petite fenêtre avec une archivolte décorée de billettes. Au Nord de la nef rectangulaire, on peut y découvrir une petite porte murée et surmontée d'un tympan orné d'un chrisme. Dans cette église, on peut également remarquer le somptueux décor que constitue son choeur abritant une oeuvre classée du XVIIIème siècle, un maître-autel et un contre-rétable, un harmonieux triptyque avec au centre un tableau représentant le baptême du Christ. Dans cette église du XIIIème siècle avec un clocher fortifié original, nous y trouvons également de superbes statues en bois sculptés, peints et dorés du XVIIème siècle.

 

 

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JU -

BELLOC

JU = "jus" = jons et BELLOC = "bet" "loc" = beau lieu - Fusion de Ju, Belloc et Beaulat en 1822 - Le général NOGUES, aide de camp du Maréchal LANNES pendant les guerres napoléoniennes, est mort à JU-BELLOC en 1853 - Nous y trouvons des vestiges préhistoriques et antiques, le Moulin de Baulat, une ancienne fontaine de Goueytre, trois lavoirs et le canal Alaric créé au Xème siècle.

Dans la chapelle Saint Clamens, nous pouvons y voir un sarcophage en marbre de Saint Béat (IVème siècle). Ciboire en argent du XVII° siècle à JU.

 

 

 

 

 

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MAZERES
L'église St Jean-Baptiste de MAZERES est en grande partie romane. Son plan est simple: le choeur et une nef qui se termine à l'Ouest par un mur pignon encadré de deux échauguettes de la période gothique, crénelées à l'origine, puis coiffées au XVIème siècle de poivrières en briques transformées en guérites, sans doute pour servir de défense contre les huguenots installés à Castelnau Rivière-Basse. Le sanctuaire a été construit certainement au XIème siècle, les murs de la nef au XIIème siècle, la tour Nord au XIVème siècle et la voûte bien plus tard. Le mur pignon, soutenu au centre par un contrefort, était destiné à recevoir une cloche. La nef s'ouvre au Sud par un portail roman qui comporte des voussures et un tympan où une crucifixion a été peinte. Le chapiteau et les consoles sont ornés de sculptures plus récentes que celles du chevet.
Par le passé, des pélerinages avaient lieu à Mazères en l'honneur de Sainte Libérate qui, selon la tradition, aurait été la fille d'un prince païen qui l'aurait faite périr au Vème siècle pour sa fidèlité à la foi chrétienne. Au fond de la partie occidentale de la nef, dans une chapelle rectangulaire, se trouve la chasse contenant les reliques de Libérate. Le reliquaire en marbre blanc du XIVème siècle, mesurant 85cm de long et 27cm de haut, est posé à l'avant d'un tombeau simulé, bâti en briques, la partie inférieure étant percée sur 3 faces, ce qui forme 2 passages en forme de croix, passages sous lesquels les fidèles faisaient ramper leurs enfants qui n'arrivaient pas encore à marcher. Le choeur de l'église de Mazères est agrémenté d'arcades sur trois niveaux et abrité par une voûte en berceau. Le tout est souligné par des peintures murales naîves du XVIIIème siècle. Les colonnes cylindriques qui soutiennent les différentes arcatures possèdent des chapiteaux finement sculptés. Les sculptures des chapiteaux symbolisent la victoire du Christ sur les forces du mal.

 

 

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SAINT
AUNIX

Eglise Saint Jean-Baptiste, à nef unique, en partie du XVIII° siècle, entouré du cimetière

 

 

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Eglise de BEAUMARCHES

Eglise gothique Notre Dame de la Nativité du XIV au XVI siècle, église à nef unique de 38 m de longueur, 15 m de largeur et 14,70 m de hauteur, jamais achevée, massive, imposante et fortifiée, dominant la vallée de l'Arros et faisant face à la chaîne des Pyrénées.

Commencée grâce à Philippe LE BEL, complétée au XV siècle d'une Tour-Porche qu'entoure une superbe galerie soulignée par une frise de masques sculptés, puis d'une Tour de défense au XVI siècle. Des piliers massifs soutiennent la voûte. Les anciens vitraux du choeur sont consacrés à la vie de la Vierge Marie. Ceux de la nef ont été rénovés en 1975.

En entrant, on est frappé par la pureté des lignes qui semblent converger vers le choeur. Cela n'est pas dû au hasard mais à la largeur des murs latéraux qui diminue insensiblement de 1,70 m et à la hauteur qui décroit de 1,30 m jusqu'au choeur. Les cinq travées sont renforcées à l'extérieur par de robustes contreforts. Les clefs de voûte, richement ornées et polychromes, offrent chacune un motif différent. La quatrième et celle du choeur, en portant l'écusson aux armes de France, attestent le parrainage royal comme l'écusson sculpté sur la quatrième pile du mur Nord. La chapelle ouverte sur le mur Sud a été créée en 1531 grâce à la générosité d'un enfant de la cité, Jean COLS. Les aménagements du XIX siècle, fait avec le goût de l'époque, disparurent quasiment après Vatican II avec les travaux exécutés par l'entreprise locale FERNANDEZ. Les autels en bois polychrome ont été remplacés par des autels en pierre et par une statue de la Vierge réalisée par André TAUZIEDE de BOUROUILLAN. Les vitraux du choeur, représentant la vie de la Sainte Vierge, sont dûs au maître verrier BOURDIEU de TOULOUSE en 1861. En 1975, très endommagés, les vitraux latéraux ont été remplacés par des dalles de verre aux couleurs de la Vierge et du pape, disposées par un bénédictin d'EN CALCAT.

 

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CAYRON

L'église de Cayron est située sur un site incomparable face à la chaîne des Pyrénées. Très ancienne, elle a été entièrement reconstruite au XIXème siècle. Comme les églises voisines, elle a appartenu à l'abbaye de la Case-Dieu qui en nommait le curé choisi parmi ses chanoines.

 

 

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COUTENS

L'église de COUTENS, située non loin du château d'Esparbès, est certainement la plus ancienne église de la région et sa présence était antérieure à la création de l'abbaye de La Case-Dieu. Du XIIIème siècle, elle est du plus pur style roman. Son chevet, plat à l'extérieur, est semi-circulaire à l'intérieur. Nous pouvons y admirer un sarcophage et une superbe statue en pierre de Saint Cristaud à qui l'on attribue la faculté de guérir les maladies de peau, notamment les eczémas des nourrissons.

 

 

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RICAU En 1060, Arnaud Géraud de LAGRAULET donne au Monastère de St MONT l'église St Michel de RICAU avec ses dépendances. (D'après le Cartulaire de St Mont, cette église était située à l'est de Fourcés. Le chroniqueur parle d'une erreur de DOM BRUGELES qui fut condamné aux galères en 1718 pour fausses informations et grâcié en 1722, après le sacre de Louis XV). L'église de RICAU n'est pas répertoriée dans le Cartulaire. Il se peut qu'elle ait appartenu quand même à l'Abbaye de St Mont. L'église disparue de MIRANNES, près de LASSERADE, en faisait partie.

Dédiée à Saint André, cette église domine la vallée du Midour. Sur sa façade se dresse un clocher en queue d'Aronde tronqué. Un cimetière s'adosse sur son côté Sud qui fait face aux Pyrénées.

 

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COURTIES

L'église de Courties, édifiée par les religieux de la Milice du Temple, possède un clocher qui est en fait le donjon de l'ancien château fort.

 

 

 

 

 

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ARMOUS et CAU

Armous et Cau est constitué de deux communes réunies - L'église de Cau a appartenu aux Archevêques d'Auch

 

 

 

 

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LADEVEZE VILLE & RIVIERE

Eglise de Castex et chapelle Saint Pierre à LADEVEZE VILLE.

 

 

 

 

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JUILLAC

 

 

 

 

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TOURDUN

 

 

 

 

 

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LAVERAET

 

 

 

 

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MARCIAC

L'Église Notre-Dame de l'Assomption a été édifiée au début du XIVème siècle. L'Église de Marciac est un monument exceptionnel, le plus haut du Gers, de style gothique (précoce pour la période et la région) et pourtant de tradition romane. Elle révèle une architecture très fortement inspirée par la symbolique de la Sainte Trinité.

Alors que la Gascogne est ravagée par la peste, le 14 septembre 1654, Marie Dinguidard, une jeune paysanne de Marciac, dit voir la Vierge à deux reprises, entourée d’une belle lumière. Elle lui demande la construction d’une chapelle pour mettre fin à la peste. Elle fut édifiée peu après, dès octobre 1654. Détruite en 1879 sous la Révolution française, la chapelle Notre-Dame-de-la-Croix est rebâtie en 1880 selon un plan s'inspirant d'une chapelle romane. Tous les ans, un pèlerinage traditionnel a lieu le lundi de Pentecôte. Une association passionnée par elle lui a consacré un blog (http://marciac.typepad.com/blogmarciac)

 

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RICOURT

 

 

 

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St JUSTIN

 

 

 

 

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MONLEZUN

  

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MONTPARDIAC

 

 

 

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